Variation d’après « Le bureau d’investigation » créé en 2002, La réserve surnaturelle prend la forme d’un concerto, des solistes  donc, mais où placer l’orchestre ? « Du hamac, je vois l’objet planer ; en vol libre, il descend lentement se poser à la Malterie. Jusque là tout va bien, les proportions sont justes, scène et public semblent se confondre dans une installation plastique conséquente. Alors, sous un  air de machine à écrire, un homme invisible arpente la réserve. Un grand cactus se profile à l’horizon, l’arbre à pinces cliquetac, des traces de pingouin apparaissent sur le gazon et l’encrier tentaculaire envahit les interstices. Les protagonistes de l’investigation sonore et mouvementée dessinent dans le visible et l’invisible ; attention, avis de vent frais, avant tempête !

• 
• 
• 
• 
• 
•